Une rencontre fortuite mais non déplaisante. [Ano-Mélinda]
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Ano Durand
Ano Durand Ven 31 Juil - 2:29
Ano était dans son dortoir. Il ne faisait rien et en était las. Quel journée magnifique ! Ça veut dire 80 % de chance de rencontrer quelqu'un. Mais Ano n'aimait pas le Soleil, aussi, il sauta de son lit et prit un parapluie pour se protéger du Soleil. Il évita de faire grincer le coffre pour ne pas réveiller Barbe-Fleurie, son chat au pelage bleui et très fournis au visage. Mais c'était peine perdue. Le chat ouvrit les yeux et regarda son ami. Une petite conversation faite de mimiques félines s'engagea.
-Coucou chamour.
« -Pourquoi tu fait du bruits pendant ma sieste ? »
Ano rigola un peu. Cette bête et lui se connaissaient par cœur et ils avaient un lien presque fraternel entre eux.
-Je prend un parapluie, tu vois ? Je vais dehors, lire des Contes du livre de maman.
L'animal se leva à demi et le regarda puis bailla de tout son saoul.
-Tu voudras venir écouter les Contes ? Tu viendras à côté de moi.
« -O.K ! »
Le chat se releva entièrement, s'étira gracieusement et se frotta contre son compagnon avec des ronronnements aussi bruyants qu'un moteur de voiture. Descendant l'escalier de marbre et ouvrant la porte, ils allèrent sur la Place de la Fontaine. Ano et Barbe-Fleurie sentaient l'air pur et vivifiant qui émanait de l'Académie. Y a pas à dire, la Bretagne, y a que ça de vrai. Le ciel est bleu, le Soleil éclatant, les jardins magnifiques. Le parapluie ouvert dans une main, le sac en bandoulière avec le livre dedans sur l'autre épaule, et c'est partit pour quelques moment de lecture.
« -Tu devrais sortir plus souvent. Tu es trop renfermé sur toi-même » fit le chat avec un regard accusateur
-Je ne vois pas ce que tu veut dire. répondit Ano en faisant semblant de ne pas comprendre
Le chat se figea d'un coup sur place. Ano se retourna, intrigué, pour voir ce qui lui arrivait. Le chat avait le poil tout ébouriffé, comme si il avait été victime d'un pétard dans ces dessins animés. Il regardait droit devant lui. Un lézard, un mulot, une musaraigne… qu'avait-il vus ? Ano se mit à sa hauteur et essaya de voir ce que son ''chatmour'' avait bien put voir.
-Qu'é que t'as vus, n'amour ?
Le chat ne l'écoutait pas et se mis bondir en direction de la Fontaine de Jouvence. Ano du, bien tristement, commencer une poursuite. Il vit rapidement que ce que poursuivait son chat n'était pas à terre mais dans les airs. C'était une blanche colombe qui allait vers la Fontaine. Elle se posa alors sur l'épaule d'une jeune fille aux cheveux bruns. Oh, oh. Désolé Barbe-Fleurie,il lança un Petrificus Totalus au moment où ce dernier allait se jeter sur la jeune fille. Le corps paralysé du chat tomba comme si il était raide mort.
-Oh, je suis désolé Barbe. Tu m'excusera ?
-Coucou chamour.
« -Pourquoi tu fait du bruits pendant ma sieste ? »
Ano rigola un peu. Cette bête et lui se connaissaient par cœur et ils avaient un lien presque fraternel entre eux.
-Je prend un parapluie, tu vois ? Je vais dehors, lire des Contes du livre de maman.
L'animal se leva à demi et le regarda puis bailla de tout son saoul.
-Tu voudras venir écouter les Contes ? Tu viendras à côté de moi.
« -O.K ! »
Le chat se releva entièrement, s'étira gracieusement et se frotta contre son compagnon avec des ronronnements aussi bruyants qu'un moteur de voiture. Descendant l'escalier de marbre et ouvrant la porte, ils allèrent sur la Place de la Fontaine. Ano et Barbe-Fleurie sentaient l'air pur et vivifiant qui émanait de l'Académie. Y a pas à dire, la Bretagne, y a que ça de vrai. Le ciel est bleu, le Soleil éclatant, les jardins magnifiques. Le parapluie ouvert dans une main, le sac en bandoulière avec le livre dedans sur l'autre épaule, et c'est partit pour quelques moment de lecture.
« -Tu devrais sortir plus souvent. Tu es trop renfermé sur toi-même » fit le chat avec un regard accusateur
-Je ne vois pas ce que tu veut dire. répondit Ano en faisant semblant de ne pas comprendre
Le chat se figea d'un coup sur place. Ano se retourna, intrigué, pour voir ce qui lui arrivait. Le chat avait le poil tout ébouriffé, comme si il avait été victime d'un pétard dans ces dessins animés. Il regardait droit devant lui. Un lézard, un mulot, une musaraigne… qu'avait-il vus ? Ano se mit à sa hauteur et essaya de voir ce que son ''chatmour'' avait bien put voir.
-Qu'é que t'as vus, n'amour ?
Le chat ne l'écoutait pas et se mis bondir en direction de la Fontaine de Jouvence. Ano du, bien tristement, commencer une poursuite. Il vit rapidement que ce que poursuivait son chat n'était pas à terre mais dans les airs. C'était une blanche colombe qui allait vers la Fontaine. Elle se posa alors sur l'épaule d'une jeune fille aux cheveux bruns. Oh, oh. Désolé Barbe-Fleurie,il lança un Petrificus Totalus au moment où ce dernier allait se jeter sur la jeune fille. Le corps paralysé du chat tomba comme si il était raide mort.
-Oh, je suis désolé Barbe. Tu m'excusera ?
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Mélinda Aillow
Mélinda Aillow Ven 31 Juil - 11:12
Quand Mélinda s'éveilla, ce matin-là, le jour venait à peine de se lever. Le regard et les sens encore embrumés par le sommeil, la première chose qu'elle fit fut, littéralement, de tomber du lit. Les jambes empêtrées dans les draps et les cheveux en bataille, cet incident eut tout de même l'avantage de sortir la fillette de sa torpeur. Elle passa machinalement sa main dans ses mèches brunes, tout en se frottant les yeux de l'autre. Elle ne mettait jamais beaucoup de temps pour se réveiller, et ainsi, quelques minutes plus tard, elle était habillée, son lit était parfaitement fait, et elle était plantée face à son miroir, sa brosse à cheveux dans la main.
Elle adressa un petit sourire à son propre reflet, avant de s'attaquer à sa tignasse brune. Les rayons du soleil se promenaient sur son visage tandis que la brosse glissait au milieu des mèches et des boucles, et cela ne fit qu'accentuer le sourire de la brunette. Elle repensait à sa nuit passée. Elle avait rêvé de James et du manoir cette nuit, et elle en avait été plus que réjouite. Les dernières nouvelles de son frère remontaient au mois dernier, et l'inquiétude de la jeune Mélinda ne faisait qu'accroître de jour en jour. Alors qu'elle glissait une boucle derrière son oreille, un bruit se fit entendre à la fenêtre. Elle jeta un regard curieux dans la direction du bruit, et fut absolument ravie en devinant la silhouette nimbée de lumière d'Esprit, sa fidèle colombe, un des rares souvenirs de sa vie avec James au manoir. Se précipitant vers le carreau, Mélinda l'ouvrit, et n'eut à peine le temps de réagir que l'oiseau pâle pénétra brusquement dans la pièce, troublant le silence avec ses piaillements et le bruissement de ses ailes.
Elle fit tomber une lettre sur la tête de la Mercoeur, puis se posa sur son épaule. Tout en se penchant pour ramasser l'enveloppe, Mélinda frotta sa joue contre les plumes blanches d'Esprit, qui roucoula joyeusement. Retournant le pli, et fronçant les sourcils, les yeux de la fillette se posèrent sur l'écriture fine et légèrement penchée. C'était l'écriture de James, elle l'avait deviné au premier coup d'oeil ! Sautillant dans toute la chambre en crispant ses doigts blancs sur le message, elle poussa des petits cris de joie, imitée par sa colombe qui semblait partager son allégresse. Attrapant en vitesse son manteau, Mélinda sortit en trombe de la pièce, Esprit la suivant de près. Elle s'écria, en explication à sa colombe :
- Viens ma belle, je préfère la lire dehors ! Allons à la fontaine !
Ni une, ni deux, sans ralentir une seule seconde, la première année courut jusqu'aux portes de l'Académie, prise d'une sorte de folie liée à sa joie. James lui manquait tellement, elle lui avait voulu d'avoir tardé à lui envoyer de ses nouvelles, mais en tenant cette lettre dans sa main, elle avait l'impression qu'un poid s'était retiré de ses épaules. Elle avait l'impression de respirer différemment.
Lorsqu'elle arriva à la fontaine, elle était déserte, et ce n'était pas pour gêner la fillette. Elle s'installa sur le rebord et, pendant qu'Esprit se reposait à nouveau sur son épaule, elle ouvrit, les mains légèrement tremblantes d'excitation, l'enveloppe. Un parchemin et un petit paquet mal emballé s'en échappèrent et tombèrent sur les genoux de la Mercoeur. Ignorant tout d'abord ce dernier, elle prit le papier entre ses mains, lisant les quelques phrases qui recouvraient le parchemin. Soulagée par les nouvelles qu'elle venait de lire, Mélinda accepta enfin de se calmer. Reposant avec sa douceur habituelle la lettre sur ses genoux, elle s'intéressa au paquet. Retirant délicatement le papier craft (James n'avait jamais été particulièrement doué pour faire ce genre de paquet), elle regarda son contenu glisser dans sa paume tendue. Un collier. Elle s'en souvenait parfaitement. Elle s'était extasiée dessus, la dernière fois qu'elle était à Londres. La dernière fois qu'elle avait vu son frère. Mais, toujours économe et peu encline à réclamer, elle n'avait rien ajouté sur ce collier durant le reste de son séjour. Et aujourd'hui, elle était surprise, et en même temps, émerveillée de voir que James s'en était rappelé. Se remettant à trembler, elle mit son nouveau cadeau, et passa encore de longues minutes à l'observer, le faisant tourner entre ses doigts, sa main libre tenant encore la lettre. Esprit était allée faire un tour, mais la brune s'en était à peine rendue compte.
Alors qu'elle était perdue dans ses pensées et ses rêveries, un concert de bruits la tira de son monde imaginaire, juste à temps pour voir une forme poilue, figée, tomber par terre. Au même instant, Esprit se retrouva sur l'épaule de sa maîtresse, et celle-ci jetait un regard curieux à la forme, qui se révéla être un chat, puis au lanceur du sort. Un jeune garçon, qui semblait avoir son âge. Elle lui sourit, tandis qu'Esprit mordillait affectueusement son index tendu.
- Bonjour...
Elle adressa un petit sourire à son propre reflet, avant de s'attaquer à sa tignasse brune. Les rayons du soleil se promenaient sur son visage tandis que la brosse glissait au milieu des mèches et des boucles, et cela ne fit qu'accentuer le sourire de la brunette. Elle repensait à sa nuit passée. Elle avait rêvé de James et du manoir cette nuit, et elle en avait été plus que réjouite. Les dernières nouvelles de son frère remontaient au mois dernier, et l'inquiétude de la jeune Mélinda ne faisait qu'accroître de jour en jour. Alors qu'elle glissait une boucle derrière son oreille, un bruit se fit entendre à la fenêtre. Elle jeta un regard curieux dans la direction du bruit, et fut absolument ravie en devinant la silhouette nimbée de lumière d'Esprit, sa fidèle colombe, un des rares souvenirs de sa vie avec James au manoir. Se précipitant vers le carreau, Mélinda l'ouvrit, et n'eut à peine le temps de réagir que l'oiseau pâle pénétra brusquement dans la pièce, troublant le silence avec ses piaillements et le bruissement de ses ailes.
Elle fit tomber une lettre sur la tête de la Mercoeur, puis se posa sur son épaule. Tout en se penchant pour ramasser l'enveloppe, Mélinda frotta sa joue contre les plumes blanches d'Esprit, qui roucoula joyeusement. Retournant le pli, et fronçant les sourcils, les yeux de la fillette se posèrent sur l'écriture fine et légèrement penchée. C'était l'écriture de James, elle l'avait deviné au premier coup d'oeil ! Sautillant dans toute la chambre en crispant ses doigts blancs sur le message, elle poussa des petits cris de joie, imitée par sa colombe qui semblait partager son allégresse. Attrapant en vitesse son manteau, Mélinda sortit en trombe de la pièce, Esprit la suivant de près. Elle s'écria, en explication à sa colombe :
- Viens ma belle, je préfère la lire dehors ! Allons à la fontaine !
Ni une, ni deux, sans ralentir une seule seconde, la première année courut jusqu'aux portes de l'Académie, prise d'une sorte de folie liée à sa joie. James lui manquait tellement, elle lui avait voulu d'avoir tardé à lui envoyer de ses nouvelles, mais en tenant cette lettre dans sa main, elle avait l'impression qu'un poid s'était retiré de ses épaules. Elle avait l'impression de respirer différemment.
Lorsqu'elle arriva à la fontaine, elle était déserte, et ce n'était pas pour gêner la fillette. Elle s'installa sur le rebord et, pendant qu'Esprit se reposait à nouveau sur son épaule, elle ouvrit, les mains légèrement tremblantes d'excitation, l'enveloppe. Un parchemin et un petit paquet mal emballé s'en échappèrent et tombèrent sur les genoux de la Mercoeur. Ignorant tout d'abord ce dernier, elle prit le papier entre ses mains, lisant les quelques phrases qui recouvraient le parchemin. Soulagée par les nouvelles qu'elle venait de lire, Mélinda accepta enfin de se calmer. Reposant avec sa douceur habituelle la lettre sur ses genoux, elle s'intéressa au paquet. Retirant délicatement le papier craft (James n'avait jamais été particulièrement doué pour faire ce genre de paquet), elle regarda son contenu glisser dans sa paume tendue. Un collier. Elle s'en souvenait parfaitement. Elle s'était extasiée dessus, la dernière fois qu'elle était à Londres. La dernière fois qu'elle avait vu son frère. Mais, toujours économe et peu encline à réclamer, elle n'avait rien ajouté sur ce collier durant le reste de son séjour. Et aujourd'hui, elle était surprise, et en même temps, émerveillée de voir que James s'en était rappelé. Se remettant à trembler, elle mit son nouveau cadeau, et passa encore de longues minutes à l'observer, le faisant tourner entre ses doigts, sa main libre tenant encore la lettre. Esprit était allée faire un tour, mais la brune s'en était à peine rendue compte.
Alors qu'elle était perdue dans ses pensées et ses rêveries, un concert de bruits la tira de son monde imaginaire, juste à temps pour voir une forme poilue, figée, tomber par terre. Au même instant, Esprit se retrouva sur l'épaule de sa maîtresse, et celle-ci jetait un regard curieux à la forme, qui se révéla être un chat, puis au lanceur du sort. Un jeune garçon, qui semblait avoir son âge. Elle lui sourit, tandis qu'Esprit mordillait affectueusement son index tendu.
- Bonjour...
- HRPG:
- T'as de la chance, c'est un des plus longs post rp' que j'ai écrit ^^
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Ano Durand
Ano Durand Ven 31 Juil - 13:53
Ano était essoufflé. Cette course poursuite l'avait fatigué. Aussi il s'assit à côté de la jeune fille toujours en ventilant et se recoiffa un peu. Il lui sourit et se mit à rire de démence. Il avait tellement couru après son chat qu'il n'avais plus tout sa tête. La bête gisait toujours sur le sol, les pattes le long du corps. Il bougeait encore ses yeux. A gauche. A droite. C'était parfait dans un salon. Ou comme paillasse. Barbe vas lui faire sa fête quand un professeur vas lui donner la formule. Il ramassa son chat et le déposa sur ses genoux. Le chat avait un regard plein de haine et une envie profonde de griffer son ami. Ano lui fit une petite gratte et rigola un peu puis il se tourna vers l'inconnue.
-Tu connais le contre-sort de Pétrifuc Totalus ? Parce que moi...
Il regarda la jeune fille qui affichait un drôle d'air. Il vit son insigne bleu et brun. Mercoeur, non ? Elle était aussi jolie que sa colombe. Mais attention : car comme dit le proverbe : les visages d'anges peuvent cacher des âmes démoniaques. Il regarda la Mercoeur. Il se mit soudain à réfléchir, fronça les sourcils, mit sa main sur la bouche et ferma les yeux, signe qu'il était très concentré. Il y avait quelque chose qui le turlupinait. Ca y est ! Il avait oublié un truc es-sen-ti-el. Il se retourna d'un mouvement brusque vers elle avant de dire :
-Mais... T'es qui au fait ?
Question pourtant fondamental. Il avait complètement oublié de demander son nom à cette inconnue.
-Tu connais le contre-sort de Pétrifuc Totalus ? Parce que moi...
Il regarda la jeune fille qui affichait un drôle d'air. Il vit son insigne bleu et brun. Mercoeur, non ? Elle était aussi jolie que sa colombe. Mais attention : car comme dit le proverbe : les visages d'anges peuvent cacher des âmes démoniaques. Il regarda la Mercoeur. Il se mit soudain à réfléchir, fronça les sourcils, mit sa main sur la bouche et ferma les yeux, signe qu'il était très concentré. Il y avait quelque chose qui le turlupinait. Ca y est ! Il avait oublié un truc es-sen-ti-el. Il se retourna d'un mouvement brusque vers elle avant de dire :
-Mais... T'es qui au fait ?
Question pourtant fondamental. Il avait complètement oublié de demander son nom à cette inconnue.
- Hors RPG:
- Oui, j'ai vus ça mais je n'en fait pas autant
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Mélinda Aillow
Mélinda Aillow Ven 31 Juil - 23:44
Mélinda regarda le jeune garçon tout le long de son petit manège, un sourire amusé quasiment invisible sur les lèvres, qui ne fit pourtant que s'agrandir au fil du temps. De toute évidence, ce pauvre chat ne devait pas être un animal très calme, à en voir les réactions de son maître. Elle qui possédait un caractère parfois très étrange, ça lui faisait du bien de voir quelqu'un d'autre craquer. Non qu'elle se pensait folle, cependant, la manière dont elle passait du rire aux larmes était parfois déconcertante.
Elle secoua la tête silencieusement, en signe de négation, suite à la première question du jeune garçon. Elle le détailla discrètement du regard. Il lui inspirait confiance, pensa-t-elle, tandis que son regard remontait jusqu'aux couleurs de son uniforme, ce qui lui rappella quelques souvenirs. Elle laissa un petit sourire nostalgique apparaître un court instant sur son visage, cette petite moue si spéciale qu'elle ne faisait qu'au moment de se souvenir. Elle reporta finalement son attention sur le garçon, regardant auparavant un bref instant l'animal, qui ne bougeait toujours pas, ce qui était normal en vue du sort qui l'avait frappé.
Elle retint un petit rire lorsque son tout nouvel interlocuteur reprit la parole. Elle avait un peu l'impression de s'entendre, elle aussi, parfois, s'exclamait de cette manière. Elle regarda autour d'elle en répondant avec sa douceur habituelle :
- Je pourrais te poser la même question.
Gardant le silence quelques instants, elle se retourna pourtant vers lui et plongea son regard dans le sien, tout en lui souriant gentiment. Elle lui tendit la main pour l'inviter à la serrer et ajouta, sans cesser de sourire :
- Mélinda. Mélinda Aillow. Mais tu peux m'appeler Mel's...
Elle replia discrètement la lettre de sa main libre, et la glissa, toujours de la même main, dans la large poche de son manteau. De son côté, Esprit jetait un regard franchement intrigué, mais aussi railleur vers le chat. Mélinda devinait ce que l'oiseau devait penser. Et cette simple idée la fit sourire davantage.
Elle secoua la tête silencieusement, en signe de négation, suite à la première question du jeune garçon. Elle le détailla discrètement du regard. Il lui inspirait confiance, pensa-t-elle, tandis que son regard remontait jusqu'aux couleurs de son uniforme, ce qui lui rappella quelques souvenirs. Elle laissa un petit sourire nostalgique apparaître un court instant sur son visage, cette petite moue si spéciale qu'elle ne faisait qu'au moment de se souvenir. Elle reporta finalement son attention sur le garçon, regardant auparavant un bref instant l'animal, qui ne bougeait toujours pas, ce qui était normal en vue du sort qui l'avait frappé.
Elle retint un petit rire lorsque son tout nouvel interlocuteur reprit la parole. Elle avait un peu l'impression de s'entendre, elle aussi, parfois, s'exclamait de cette manière. Elle regarda autour d'elle en répondant avec sa douceur habituelle :
- Je pourrais te poser la même question.
Gardant le silence quelques instants, elle se retourna pourtant vers lui et plongea son regard dans le sien, tout en lui souriant gentiment. Elle lui tendit la main pour l'inviter à la serrer et ajouta, sans cesser de sourire :
- Mélinda. Mélinda Aillow. Mais tu peux m'appeler Mel's...
Elle replia discrètement la lettre de sa main libre, et la glissa, toujours de la même main, dans la large poche de son manteau. De son côté, Esprit jetait un regard franchement intrigué, mais aussi railleur vers le chat. Mélinda devinait ce que l'oiseau devait penser. Et cette simple idée la fit sourire davantage.
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Ano Durand
Ano Durand Sam 1 Aoû - 1:29
Quel dommage. Barbe-Fleurie allait devoir rester une statue pour longtemps encore. Ano avait encore son parapluie dans les mains. Elle devait le prendre pour un fou sans doute. Mais elle ?
Est-ce qu'elle était folle ? Si elle était folle, formidable ! Enfin quelqu'un à qui Ano pourrait faire confiance. Mais est-ce qu'elle aimait les animaux autant que lui pour traduire leurs pensées rien qu'avec de l'observation ? La chose la plus drôle encore fut quand il se demanda depuis Dieu sait quand, il avait l'impression d'avoir confiance envers quelqu'un. Mais il se reprit vite et lui demanda brusquement qui, cette jolie jeune fille était ?
- Je pourrais te poser la même question.
Elle avait raison. Peut-être était-il allé trop fort ? Peut-être était-elle en colère ? Mais, elle avait une voix douce, comme celle qu'avais sa mère quand elle lui parlait ou quand elle le berçait. Il se retrouva en l'espace d'un clin d’œil dans sa mémoire, le soir de la veille de Noël où ils avaient fuient le domicile familial qui allait changer la vie d'Ano pour toujours.
-Ano, chéri. Tu restera sagement avec Padbol. Oh, excuse-moi Padbie mais, depuis que ton frère nous a dit ça… Enfin toujours est il que tu restera avec lui le temps qu'on revienne. Il faut juste que l'on fasse un petit quelque chose avec ton papa, d'accord ?
Il avait répliqué de son air innocent : « Oui, maman » avant quelle ne sorte. Il avait retrouvé la même intonation de voix, la même douceur. La jeune Mercoeur ! Elle lui avait sourit gentiment. Était-ce une ruse pour baisser sa garde avant de s'excuser et de lui faire des reproches ? Non, elle ne fit que lui tendre la main et lui dire de cette voix aussi magnifique que celle de sa mère :
-Mélinda. Mélinda Aillow. Mais tu peux m'appeler Mel's…
Mélinda Aillow… c'était d'un commun. Mais très jolie. Mais, en reprenant ses esprits, Ano ne put s'empêcher de demander :
-Est-ce que tu es ma maman ?
Idiot ! Quelle idée de poser un question pareille ! Il mit ses mains sur sa bouches puis s'excusa de sa bêtise.
-Désolé ! Oublie ça ! dit-il, puis il enchaîna à toute vitesse. Je suis un idiot qui s'appelle Ano Noël de Germinal et de Marchienne !
Il l'embrassa instinctivement sur les deux joues comme cela se fait à une fille puis lança un regard noir vers la colombe qui avait un drôle de regard sur lui, ou sur le chat pétrifié. Il détourna son regard vers Barbe, il était rouge de honte. A quoi pouvaient-elles bien penser ?
Est-ce qu'elle était folle ? Si elle était folle, formidable ! Enfin quelqu'un à qui Ano pourrait faire confiance. Mais est-ce qu'elle aimait les animaux autant que lui pour traduire leurs pensées rien qu'avec de l'observation ? La chose la plus drôle encore fut quand il se demanda depuis Dieu sait quand, il avait l'impression d'avoir confiance envers quelqu'un. Mais il se reprit vite et lui demanda brusquement qui, cette jolie jeune fille était ?
- Je pourrais te poser la même question.
Elle avait raison. Peut-être était-il allé trop fort ? Peut-être était-elle en colère ? Mais, elle avait une voix douce, comme celle qu'avais sa mère quand elle lui parlait ou quand elle le berçait. Il se retrouva en l'espace d'un clin d’œil dans sa mémoire, le soir de la veille de Noël où ils avaient fuient le domicile familial qui allait changer la vie d'Ano pour toujours.
-Ano, chéri. Tu restera sagement avec Padbol. Oh, excuse-moi Padbie mais, depuis que ton frère nous a dit ça… Enfin toujours est il que tu restera avec lui le temps qu'on revienne. Il faut juste que l'on fasse un petit quelque chose avec ton papa, d'accord ?
Il avait répliqué de son air innocent : « Oui, maman » avant quelle ne sorte. Il avait retrouvé la même intonation de voix, la même douceur. La jeune Mercoeur ! Elle lui avait sourit gentiment. Était-ce une ruse pour baisser sa garde avant de s'excuser et de lui faire des reproches ? Non, elle ne fit que lui tendre la main et lui dire de cette voix aussi magnifique que celle de sa mère :
-Mélinda. Mélinda Aillow. Mais tu peux m'appeler Mel's…
Mélinda Aillow… c'était d'un commun. Mais très jolie. Mais, en reprenant ses esprits, Ano ne put s'empêcher de demander :
-Est-ce que tu es ma maman ?
Idiot ! Quelle idée de poser un question pareille ! Il mit ses mains sur sa bouches puis s'excusa de sa bêtise.
-Désolé ! Oublie ça ! dit-il, puis il enchaîna à toute vitesse. Je suis un idiot qui s'appelle Ano Noël de Germinal et de Marchienne !
Il l'embrassa instinctivement sur les deux joues comme cela se fait à une fille puis lança un regard noir vers la colombe qui avait un drôle de regard sur lui, ou sur le chat pétrifié. Il détourna son regard vers Barbe, il était rouge de honte. A quoi pouvaient-elles bien penser ?
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- Docteur WHO, are you my mummy ? :Ten:
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Mélinda Aillow
Mélinda Aillow Mar 11 Aoû - 11:42
Mélinda ouvrit de grands yeux étonnés en entendant l'étrange question posée par son camarade, et ne put donc retenir un gloussement semblable à une clochette. Il lui semblait très attachant, ce jeune garçon, et ça luii faisait du bien de rencontrer un autre élève de son âge. Il arrivait qu'elle se sente seule, les Mercoeurs n'étant actuellement pas très nombreux. Elle mit sa main sur sa bouche pour retenir un prochain éclat de rire et en profita pour jeter un regard d'excuse à Ano, priant intérieurement pour qu'il ne soit pas vexé. De toutes façons, il s'excusa lui-même quelques secondes plus tard, en précisant qui il était, et qu'il se trouvait être un idiot, ce dont Mélinda n'était pas vraiment persuadée.
Avec un petit sourire ravie, elle le laissa l'embrasser sur les deux joues, puis ensuite, lui sourit gentiment.
- Enchantée, Ano. Mais je crois que je vais être obligée de te démentir, tu ne sembles pas être un idiot. Et quant au fait d'être ta maman, je pense que je m'en souviendrai.
Elle se tut ensuite, agrandissant son sourire, puis caressa avec douceur le plumage immaculé d'Esprit, qui, après s'être désintéressée du chat, jetait de fréquents regards alentours, et Mélinda devina qu'elle devait chercher son prochain repas. L'oiseau chassait tous les jours, et il ramenait souvent de petits animaux ou baies à sa maîtresse qui, pourtant, n'oubliait jamais de la nourrir.
- Sacré nom de famille, en tous cas.
Esprit ébouriffa ses plumes, obligeant ainsi Mélinda à retirer sa main, puis prit son envol, survolant quelques secondes le chat immobilisé, puis repassant au dessus des deux enfants, elle dépassa le sommet de la fontaine et se dirigea vers les arbres les plus proches, probablement à la recherche d'un petit animal.
- Tu es nouveau ?
Mélinda n'avait pas l'impression de l'avoir déjà croisé, et pourtant, elle avait vu pas mal de gens passer à l'Académie, pour repartir, ou tout simplement disparaître par la suite. Il lui était d'ailleurs souvent arrivé de se poser des questions sur ces nombreux départs, mais pas suffisamment pour récupérer des réponses.
Avec un petit sourire ravie, elle le laissa l'embrasser sur les deux joues, puis ensuite, lui sourit gentiment.
- Enchantée, Ano. Mais je crois que je vais être obligée de te démentir, tu ne sembles pas être un idiot. Et quant au fait d'être ta maman, je pense que je m'en souviendrai.
Elle se tut ensuite, agrandissant son sourire, puis caressa avec douceur le plumage immaculé d'Esprit, qui, après s'être désintéressée du chat, jetait de fréquents regards alentours, et Mélinda devina qu'elle devait chercher son prochain repas. L'oiseau chassait tous les jours, et il ramenait souvent de petits animaux ou baies à sa maîtresse qui, pourtant, n'oubliait jamais de la nourrir.
- Sacré nom de famille, en tous cas.
Esprit ébouriffa ses plumes, obligeant ainsi Mélinda à retirer sa main, puis prit son envol, survolant quelques secondes le chat immobilisé, puis repassant au dessus des deux enfants, elle dépassa le sommet de la fontaine et se dirigea vers les arbres les plus proches, probablement à la recherche d'un petit animal.
- Tu es nouveau ?
Mélinda n'avait pas l'impression de l'avoir déjà croisé, et pourtant, elle avait vu pas mal de gens passer à l'Académie, pour repartir, ou tout simplement disparaître par la suite. Il lui était d'ailleurs souvent arrivé de se poser des questions sur ces nombreux départs, mais pas suffisamment pour récupérer des réponses.
- HRPG:
- Oh merci, dès que j'entends parler de DW, je suis de bonne humeur ^^ Je suis vraiment trop accro à cette série...
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Ano Durand
Ano Durand Dim 4 Oct - 20:54
- Enchantée, Ano. Mais je crois que je vais être obligée de te démentir, tu ne sembles pas être un idiot.fit Melinda avec un sourire. Et quant au fait d'être ta maman, je pense que je m'en souviendrai.
Ano rosit un peu quand Mélinda lui dit qu'il n'était pas un idiot, mais il devinait que sa locutrice était un peu troublée par ça. Il la regarda caresser le plumage de la jolie colombe blanche. Elle la caressait avec grâce et chaque mouvement s'accompagnait d'un merveilleux sourire. Il rosissait en la voyant, sous le regard du chat toujours pétrifié. Il se passa la main dans les cheveux sans aucune raison... peut-être pour faire bonne figure. Elle lui plaisait bien cette gentille Melinda. Il allait vite tomber amoureux mais la colombe s'ébouriffa le plumage et il ne put apercevoir son beau visage quand elle lui dit que son nom de famille était assez inhabituel et si il était nouveau.
-Oui.fit Ano avec un petit sourire. C'est la première fois que je viens dans cette partie de l'école. Mais toi non plus tu ne m'a pas l'air... vieille. Tu l'es ?
Putain, paie ta question ! Il se mordit la lèvre et serra le point. Alors il baissa les yeux pour cacher sa honte mais fut attiré par une personne qui semblait avoir de l'expérience en matière de magie.
-Excuse-moi...
Alors il se leva, prit son chat avec lui et l'amena vers la personne. De loin, on pouvait le voir insister pour que la personne lui déstupéfixie son chat. Cette personne accepta et après avoir sortit sa baguette, le chat posé à terre reprit vie. Tellement vie qu'il avait le poil ébouriffé et qu'il sauta au cou d'Ano et que l'autre drôle dut se cacher le visage. Après quelques mordillement, ils revinrent tout les deux s'asseoir à nouveau près de Mel. Ano caressait son chat.
-On est toujours ami même si je lui ait fait ça. Il m'a dit qu'il avait comprit et qu'il ne ferais aucun mal à ta colombe.
Il l'embrassa avec son visage un peu meurtri et regarda Mel qui était assez surprise à priori. Mais Ano s'en fichait, il était trop absorbé par son visage qu'il souriait bêtement, sous le charme de la diablesse.
Ano rosit un peu quand Mélinda lui dit qu'il n'était pas un idiot, mais il devinait que sa locutrice était un peu troublée par ça. Il la regarda caresser le plumage de la jolie colombe blanche. Elle la caressait avec grâce et chaque mouvement s'accompagnait d'un merveilleux sourire. Il rosissait en la voyant, sous le regard du chat toujours pétrifié. Il se passa la main dans les cheveux sans aucune raison... peut-être pour faire bonne figure. Elle lui plaisait bien cette gentille Melinda. Il allait vite tomber amoureux mais la colombe s'ébouriffa le plumage et il ne put apercevoir son beau visage quand elle lui dit que son nom de famille était assez inhabituel et si il était nouveau.
-Oui.fit Ano avec un petit sourire. C'est la première fois que je viens dans cette partie de l'école. Mais toi non plus tu ne m'a pas l'air... vieille. Tu l'es ?
Putain, paie ta question ! Il se mordit la lèvre et serra le point. Alors il baissa les yeux pour cacher sa honte mais fut attiré par une personne qui semblait avoir de l'expérience en matière de magie.
-Excuse-moi...
Alors il se leva, prit son chat avec lui et l'amena vers la personne. De loin, on pouvait le voir insister pour que la personne lui déstupéfixie son chat. Cette personne accepta et après avoir sortit sa baguette, le chat posé à terre reprit vie. Tellement vie qu'il avait le poil ébouriffé et qu'il sauta au cou d'Ano et que l'autre drôle dut se cacher le visage. Après quelques mordillement, ils revinrent tout les deux s'asseoir à nouveau près de Mel. Ano caressait son chat.
-On est toujours ami même si je lui ait fait ça. Il m'a dit qu'il avait comprit et qu'il ne ferais aucun mal à ta colombe.
Il l'embrassa avec son visage un peu meurtri et regarda Mel qui était assez surprise à priori. Mais Ano s'en fichait, il était trop absorbé par son visage qu'il souriait bêtement, sous le charme de la diablesse.
- HRPG:
- Bon, il est amoureux comme dans les premiers Disney : d'un simple regard.
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Age : 24
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Mélinda Aillow
Mélinda Aillow Jeu 29 Oct - 14:49
Mélinda écoutait attentivement son jeune interlocuteur, un éternel sourire vague aux coins des lèvres, tout en surveillant les environs pour vérifier la position et les actes de sa précieuse colombe. Elle avait confiance en elle, et étrangement, son oiseau blanc possédait une certaine maturité... Qui faisait qu'elle ne se mettrait jamais en danger sans raisons valables. Alors, quelque peu rassurée, la Mercoeur tourna complètement son visage vers le Chevreuse qui était assis face à elle, agrandissant son sourire et lui jeta un regard doux. Elle dû pourtant retenir un nouvel éclat de rire, en replaçant sa main pâle devant son visage.
- Oh non, je ne suis pas "vieille", comme tu dis. J'ai sûrement le même âge que toi !
Elle baissa le regard une demi-seconde, et remarqua qu'Ano serrait le poing, comme s'il croyait avoir fait une bourde... Surprise et intriguée, la brune posa instinctivement sa main sur le poing du garçon et s'exclama :
- Eh, Ano ! Desserre-moi ce poing, s'il-te-plaît.
En voyant le Chevreuse se lever, Mélinda ne comprit pas immédiatement ce qu'il allait faire, et crut un bref instant qu'il ne reviendrait pas s'asseoir auprès d'elle. Inconsciemment, une petite moue déçue se dessina sur son visage, tandis qu'elle suivait du regard le garçon s'éloigner.
Pourtant, la situation se fit rapidement claire dans son esprit, lorsque la boule de poils qui lui tenait lieu de chat sauta au cou de son maître. Alors là, elle pouffa encore dans son coin. Enfin, quand Ano se réinstalla face à elle, elle lança d'une voix claire :
- Tu parles à ton chat.
C'était une affirmation, et non une question. Bien qu'un peu surprise, la fillette ne trouvait pas ça vraiment étrange. Il lui arrivait également de discuter avec Esprit, et cela s'avérait parfois très intéressant. Se redressant en posant ses mains sur ses genoux, elle s'exclama joyeusement :
- Tant mieux s'il ne t'en veut pas ! Esprit n'en serait pas capable, elle a trop mauvais caractère...
Mélinda était d'un naturel souriant, et ne pouvait qu'apprécier une attitude positive et optimiste. Pourtant, encore amusée, elle pencha sa tête sur le côté et jeta un regard pétillant à Ano, murmurant avec calme :
- Pourquoi est-ce que tu souris comme ça, Ano ?
- Oh non, je ne suis pas "vieille", comme tu dis. J'ai sûrement le même âge que toi !
Elle baissa le regard une demi-seconde, et remarqua qu'Ano serrait le poing, comme s'il croyait avoir fait une bourde... Surprise et intriguée, la brune posa instinctivement sa main sur le poing du garçon et s'exclama :
- Eh, Ano ! Desserre-moi ce poing, s'il-te-plaît.
En voyant le Chevreuse se lever, Mélinda ne comprit pas immédiatement ce qu'il allait faire, et crut un bref instant qu'il ne reviendrait pas s'asseoir auprès d'elle. Inconsciemment, une petite moue déçue se dessina sur son visage, tandis qu'elle suivait du regard le garçon s'éloigner.
Pourtant, la situation se fit rapidement claire dans son esprit, lorsque la boule de poils qui lui tenait lieu de chat sauta au cou de son maître. Alors là, elle pouffa encore dans son coin. Enfin, quand Ano se réinstalla face à elle, elle lança d'une voix claire :
- Tu parles à ton chat.
C'était une affirmation, et non une question. Bien qu'un peu surprise, la fillette ne trouvait pas ça vraiment étrange. Il lui arrivait également de discuter avec Esprit, et cela s'avérait parfois très intéressant. Se redressant en posant ses mains sur ses genoux, elle s'exclama joyeusement :
- Tant mieux s'il ne t'en veut pas ! Esprit n'en serait pas capable, elle a trop mauvais caractère...
Mélinda était d'un naturel souriant, et ne pouvait qu'apprécier une attitude positive et optimiste. Pourtant, encore amusée, elle pencha sa tête sur le côté et jeta un regard pétillant à Ano, murmurant avec calme :
- Pourquoi est-ce que tu souris comme ça, Ano ?
- HRPG:
- Biiiiiig désolée pour mon retard !
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Ano Durand
Ano Durand Dim 31 Jan - 21:19
-Tu parle ton chat.
Ano regardait attentivement son chat à la fourrure douce. Ils en avaient vus d'autres, ces deux compères-là ! Et ce n'était pas leur première dispute. Ano savait que son chat avait deviné pour quoi il lui avait jeté un sort. Mais il lui avait pardonné. En revanche, voir cette petite boule de plumes blanches se dandiner sur l'épaule de la jeune et qui lui restait hors de portée.
-Oui. Je suis souvent seul alors je parle avec lui bien qu’il puisse m'agacer.
Mais les deux garnements s'aimaient comme deux frères. La fratrie s'était encore agrandie. Une image furtive passa devant les yeux d'Ano : son père, sa mère et son frère, il y a six ans. Puis la raclée qu'il a foutu à Padbie l'année dernière. Toujours est-il, qu'en ce moment, Ano regardait le visage de Mélinda.
- Pourquoi est-ce que tu souris comme ça, Ano ?
Ano fut comme sonné mais cela le ramena à la réalité. Il bredouilla :
-Bah... Euh... T'es jolie. Et c'est pour ça que je sourie... peut-être. Ca te dit qu'on aille se promener dans le parc. Il est magnifique.
En rougissant, il se rendit compte qu'il tenait la main de Mel, et la lâcha précipitamment avant de se lever.
Ano regardait attentivement son chat à la fourrure douce. Ils en avaient vus d'autres, ces deux compères-là ! Et ce n'était pas leur première dispute. Ano savait que son chat avait deviné pour quoi il lui avait jeté un sort. Mais il lui avait pardonné. En revanche, voir cette petite boule de plumes blanches se dandiner sur l'épaule de la jeune et qui lui restait hors de portée.
-Oui. Je suis souvent seul alors je parle avec lui bien qu’il puisse m'agacer.
Mais les deux garnements s'aimaient comme deux frères. La fratrie s'était encore agrandie. Une image furtive passa devant les yeux d'Ano : son père, sa mère et son frère, il y a six ans. Puis la raclée qu'il a foutu à Padbie l'année dernière. Toujours est-il, qu'en ce moment, Ano regardait le visage de Mélinda.
- Pourquoi est-ce que tu souris comme ça, Ano ?
Ano fut comme sonné mais cela le ramena à la réalité. Il bredouilla :
-Bah... Euh... T'es jolie. Et c'est pour ça que je sourie... peut-être. Ca te dit qu'on aille se promener dans le parc. Il est magnifique.
En rougissant, il se rendit compte qu'il tenait la main de Mel, et la lâcha précipitamment avant de se lever.
- HRPG:
- On peut dire que l'on est quitte. ;)
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